Le ou la tourneur·euse usine et produit des pièces par enlèvement de matières jusqu’à l’obtention de formes et dimensions définies, au moyen d’un outil de coupe, appelé « tour », qui se déplace sur la pièce pour la découper (contrairement au fraisage, où la pièce se déplace sur l’outil). Le ou la tourneur·euse réalise des filetages, des alésages, des pièces cylindriques, coniques ou prismatiques conformément aux plans et dossiers techniques, en utilisant des machines-outils conventionnelles ou à commande numérique. Le travail peut durer plusieurs heures pour une seule pièce. Il faut ensuite contrôler les pièces usinées et assurer la maintenance préventive des machines.
Compétiteurs
• Emilien HERAULT – AUVERGNE-RHÔNE-ALPES
• Alexandre AGASSE – BRETAGNE
• Thomas JANSSENS – CENTRE VAL DE LOIRE
• Nicolas SCHWING – GRAND EST
• Thibaut MOREAU – HAUTS-DE-FRANCE
• Guillaume BEAUSSIEU – NORMANDIE
• Maxime REIX – NOUVELLE-AQUITAINE
• Rémi ORTIZ – OCCITANIE
• Quentin FONTENEAU – PAYS DE LA LOIRE
• Lucas PERRET – SUD PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR
Expert-métier
Quentin OSTERROTH
L'épreuve en quelques mots
L’épreuve consiste à réaliser, à partir de plans et de bruts, plusieurs pièces mécaniques par enlèvement de matière. Pour cela le candidat ou la candidate dispose d’un logiciel de FAO (Fabrication Assistée par Ordinateur) et d’un tour à commande numérique. A lui ou elle de bien paramétrer l’usinage afin de garantir les dimensions des pièces, de l’ordre du centième de millimètre (0.01 mm), par rapport aux plans de définition. 80 % de la note finale dépend de ces dimensions.