Le ou la techicien·ne automobile entretient et répare les véhicules de plus en plus sophistiqués dans lesquels l’électronique a tendance à s’imposer. Trouver l’origine d’un dysfonctionnement et poser un diagnostic : c’est le coeur de son activité ! Une fois la panne diagnostiquée, il ou elle décide de l’intervention à exécuter, remplace les pièces défectueuses et effectue les réglages des systèmes mécaniques ou électroniques comme l’injection, le freinage, les suspensions, ou la transmission. Il ou elle procède aux essais sur route et réalise les dernières mises au point. L’intervention terminée, il ou elle rend le véhicule à son conducteur, explique en détail les travaux effectués : concurrence oblige, il est impératif de satisfaire la clientèle pour la fidéliser !
Compétiteurs
• Nicolas CHIGROS – AUVERGNE-RHÔNE-ALPES
• Emilien COUDRAY – BOURGOGNE-FRANCHE-COMTE
• Mathis HUCK – BRETAGNE
• Alexandre TESSIER – CENTRE VAL DE LOIRE
• Maxime WALCH – GRAND EST
• Benjamin MELIN – HAUTS-DE-FRANCE
• Alexis GOERGEN – ILE-DE-FRANCE
• Jordan DURECU – NORMANDIE
• Hugo MESSANT – NOUVELLE-AQUITAINE
• Brahim OUJI – OCCITANIE
• Léo DAHERON – PAYS DE LA LOIRE
• Fabio DA SILVA LEANDRO – SUD PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR
Expert-métier
Jérôme KUENTZ
L'épreuve en quelques mots
Les compétiteurs et compétitrices doivent établir un diagnostic des dysfonctionnements constatés, réparer le véhicule et rédiger un compte rendu de l’intervention dans un temps limité, tout en maintenant le poste de travail et le véhicule propres et en état. L’épreuve porte notamment sur le diagnostic des systèmes d’injection, de freinage, de mesures, électriques, mécaniques, ainsi que la géométrie et les véhicules hybrides/électriques.