Fenêtres et baies vitrées, portes automatiques, vérandas et verrières, vitrines, miroirs et cloisons, cabines de douche… Les produits réalisés par le ou la miroitier·ière sont variés. Après avoir dessiné et défini les mesures de l’objet, on découpe le verre avec un outil appelé « diamant » ou à l’aide d’une machine à commandes numériques. Ensuite on façonne les bords (chants) qui peuvent être polis, chanfreinés ou biseautés. Il est aussi possible de décorer une réalisation par sablage ou gravure d’un motif. Le ou la miroitier·ière peut aussi fabriquer les armatures (châssis) qui supporteront les éléments en verre. On peut être amené à collaborer avec d’autres corps de métier (gros oeuvre, finition, peinture, menuiserie…).
Compétiteurs
• Lilian VALLET – AUVERGNE-RHÔNE-ALPES
• Adrien TOURNIER – CENTRE VAL DE LOIRE
• Chafioun ABDOU – GRAND EST
• Muriel DANIEL – ILE-DE-FRANCE
• Mathéo GUILLARD – NOUVELLE-AQUITAINE
• Sekou SOUMARE – OCCITANIE
• Téo BROHAN – PAYS DE LA LOIRE
• Rémy BELLUCCI – SUD PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR
Expert-métier
Jacques NATO
Déroulé de la compétition
Configuration en ½ groupe : les compétiteurs sont répartis en groupe pour faire les épreuves.
L'épreuve en quelques mots
L’épreuve consiste à réaliser une pièce décorative et fonctionnelle en verre, de toute forme (ex : présentoir commercial en forme de pressoir, meuble avec tablette et miroir en trois faces…). Les compétiteurs et compétitrices doivent couper, travailler et assembler avec soin et précision des éléments en verre. Il faut faire appel à ses compétences techniques afin de donner différentes formes géométriques au verre, mais aussi mettre en pratique des techniques de décoration comme par exemple le sablage afin de rendre le verre translucide. L’évaluation porte notamment sur l’organisation du poste de travail, le respect des dimensions, la sécurité lors de la réalisation des travaux de découpe, et la qualité de l’assemblage.