L’imprimé est partout dans notre quotidien. L’imprimeur ou l’imprimeuse donne vie aux idées de communication, et réalise l’ensemble des supports de communication imprimés de ses clients : de l’étiquette d’information sur nos produits alimentaires en passant par les affiches, les magazines, les livres, de l’emballage des produits de beauté jusqu’aux packaging du luxe pour les parfums, vins et champagne… Papier, carton, bois, plastique, métal, textile, on imprime sur tout type de support en mettant en œuvre des procédés différents : offset, numérique, flexographie, sérigraphie…
A partir de la forme imprimante, l’imprimeur·euse doit régler sa presse et tous les automatismes qui permettent d’assurer un tirage conforme aux exigences du client. Il faut respecter le dossier de fabrication et procéder à tous les contrôles qualité notamment en matière de repérage (le bon texte au bon endroit) et de colorimétrie (respect des couleurs d’une marque, ou conformité d’une image par exemple). Son travail s’exerce en atelier, souvent en équipe et requiert de la concertation, voire une certaine polyvalence allant jusqu’aux opérations de finition.
Compétiteurs
• Simon COUPIAC – AUVERGNE-RHÔNE-ALPES
• Hugo DURAND – CENTRE VAL DE LOIRE
• Louis LEICHTNAM – GRAND EST
• Hugo BAQUE – HAUTS-DE-FRANCE
• Alexandre BOURGUIGNON – ILE-DE-FRANCE
• Claudia BENAIS – NOUVELLE-AQUITAINE
• Angélina QUELEN-DOUGUET – PAYS DE LA LOIRE
Expert-métier
Dominique GENDRE
Déroulé de la compétition
Configuration en ½ groupe + sélection en J3 : les compétiteurs sont répartis en groupe pour faire les épreuves.
L'épreuve en quelques mots
Les compétiteurs et compétitrices doivent produire des impressions en faisant fonctionner une presse offset (machine d’impression utilisée pour les productions de masse) ou numérique, tout en gérant les matériaux d’imprimerie (papier, encre, etc.) nécessaires. Il faut également effectuer des mesures et contrôles qualité, et utiliser un coupe-papier programmable, tout en respectant les règles de sécurité et de protection de l’environnement. L’évaluation porte notamment sur la qualité des productions et le respect du cahier des charges, mais également sur l’application des règles d’hygiène et les attitudes de travail.