L’agent·e nettoie, entretient ou remet en état, différents types de locaux (bureaux, salles, halls, couloirs, montées d’escalier….). Pour réaliser la prestation de service, il faut respecter le cahier des charges qui précise les tâches à réaliser, leur fréquence ainsi que les consignes particulières. En fonction des prestations de propreté et d’hygiène à réaliser, ainsi que des environnements dans lesquels le travail doit être effectué, on utilise différents types de produits, de matériels et de machines adaptée : balayeuse manuelle ou autoportée, nettoyeur vapeur, lustreuse multidirectionnelle, machines lave-métaux… Les lieux d’intervention sont multiples car le besoin de propreté et d’hygiène est partout : bureaux, administrations, centres commerciaux, copropriétés, écoles, musées, cinémas…
Des spécialisations sont possibles en milieux sensibles : établissements de santé, industries (agro-alimentaire, pharmaceutiques…), ou dans le nucléaire ; il est aussi possible de se spécialiser pour les travaux en hauteur (lavage de vitres…). Du fait de la garantie d’emploi, il est fréquent de travailler pour plusieurs employeurs. Les activités se déroulent tôt le matin ou tard le soir, voire le week-end, selon les besoins du site. Toutefois on observe une tendance à élargir les plages d’activité pendant les heures de bureau.
Compétiteurs
• Sébastien CHAMBAUDU – AUVERGNE-RHÔNE-ALPES
• Johnny GIROL – BOURGOGNE-FRANCHE-COMTE
• Vally Junior DIARRASSOUBA – BRETAGNE
• Tony MATOS – CENTRE VAL DE LOIRE
• Laëtitia CAPILLIEZ – HAUTS-DE-FRANCE
• Angélo FORNASIERO – ILE-DE-FRANCE
• Marine ESCORNE – NOUVELLE-AQUITAINE
• Ibrahim KONE – OCCITANIE
• Eliese AGREBI – SUD PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR
• Mamadou aliou BARRY – AUVERGNE-RHÔNE-ALPES
Expert-métier
Kévin BRULE
L'épreuve en quelques mots
L’épreuve est organisée en plusieurs modules, comme par exemple : remise à neuf d’un sol souple (thermoplastique) avec la méthode du décapage au mouillé ; Remise en état d’un sol textile (moquette) tâché ; lavage de vitres le plus rapidement possible (speed module). Les compétiteurs et compétitrices sont notamment évalués sur le respect des modes opératoires, des procédures d’hygiène de sécurité et de communication, sur l’uniformité et la qualité du résultat, mais aussi sur le respect de la consommation d’eau et de produit dans une démarche de développement durable.